Le blog de Jean

Elizabeth.

Nous étions si bien, tous ensemble, ce 31 décembre, pour laisser partir l’année 2015 que nous ne regrettions pas et pour saluer 2016 qui allait ouvrir ses portes en fêtant son arrivée autour d’un repas.

Tous ensemble, autour de la table, entre bons  amis, la vie semble bien agréable malgré toutes  ses difficultés.

Nous étions heureux de nous réunir comme nous le faisions tous les ans.

Alors, pourquoi faut- il que le mois de janvier de cette nouvelle année ne soit même pas terminé et qu’il nous prive déjà de ta présence. Pourquoi alors que tu partais confiante pour une opération que bien du monde avait eu sans problème avant toi,  confiante avec peut être un peu d’appréhension, mais que tu ne montrais pas.

Pourquoi être partie, alors que tu donnais l’impression d’être si bien ce jour là ?

Ton départ est injuste et nos questions restent sans réponse.

L’an prochain au dernier jour de 2016 tu ne seras pas autour de la table avec nous, alors que tu y aurais eu toute  ta place.

Nous aurons tous une pensée pour toi ce jour là en regrettant ton absence.

En attendant, essayons de faire ce que disait Marguerite Oursenard : « Ne pleurons pas pour ce qui n’est plus, mais soyons heureux pour ce qui a été ». Cela n’est pas facile, alors que nous sommes encore si près de toi.

Te dire « Adieu » qui ne signifie rien, ni pour toi, ni pour nous, ou « au revoir » qui est encore plus trompeur, il n’y aura donc pas d’autres mots pour te dire que nous t’aimions et que si on te revoit ce sera dans nos pensées.